Art contemporain Africain vente

Ludovic Kouassi BIO

L'artiste ivoirien Ludovic Kouassi  travaille sur les matières et dépeint dans ses oeuvres la vie quotidienne en Afrique : scènes de marché, mères et enfants, portraits de femmes entre autre, pastelliste il privilégie essentiellement les portraits en  utilisant sa technique mixte dans un style semi-figuratif à travers les formes et les couleurs ainsi que l’incorporation de matières premières.Il revendique une culture de tolérance au travers de teintes africaines riches en mouvement et en couleurs.

« Le corps est un langage graphique, physiquement et rigoureusement codifié. Ne peut déceler ce message entre les mouvements, que si l’on se donne ou a une culture d’attention. Ma peinture s'accorde, modestement, les moyens de décoder cette écriture aux couleurs riches et formes harmonieuses, d’Amour et d’échange dans un style figure-actif et Semi-figuratif. »

The Ivorian artist Ludovic Kouassi works on materials and depicts daily life in Africa in his works: market scenes, mothers and children, portraits of women among others, a pastellist he mainly favors portraits using his mixed technique in a semi- -figurative through shapes and colors as well as the incorporation of raw materials.He claims a culture of tolerance through African hues rich in movement and color.

“ The body is a graphic language, physically and rigorously codified. Can't find what message between the movements, only if one gives oneself or has a culture of attention. my painting agrees, modestly, the means to decode this writing with rich colors and shapes harmony, love and exchange in a figure-active and semi-figurative style. »

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Obeye Fall BIO

Obeye FALL est né en 1962 dans la ville de Saint-Louis, au Sénégal.

Il a suivi sa formation à l’INAS (Institut National des arts du Sénégal) de 1978 à 1979, avant d’intégrer l’École Nationale des Beaux-Arts du Sénégal, de 1984 à 1987.

Par la suite, par l’intermédiaire du poète Amadou Lamine SALL, il a l’honneur de rencontrer le Président Léopold Sédar SENGHOR, qui le recommande au professeur français d'arts plastiques Pierre LODS installés au Sénégal, auparavant expatrié au CONGO-BRAZZAVILLE en 1950 et précurseur de la peinture poto-poto.

Obeye FALL fait ainsi son entrée aux Beaux-Arts de DAKAR en 1984 et y reste trois années.

Dans ses recherches en peinture et en sculpture, Obeye FALL  est très intéressé par

la théorie des couleurs dans l'expressionnisme abstrait et l'utilisation fruste des matériaux dans la statuaire africaine. Il parvient, avec la synthèse de ces deux univers opposés, à épurer, radicalement, son espace pictural dans une unité chromatique, afin de résorber tout signe, ligne ou trait suscitant la localisation d'une forme figurative dans son espace. À la place des signes, il privilégie la qualité plastique et fruste des matériaux fichés dans la statuaire africaine, en les dénuant de leur sens et sans tenir compte de leur spécificité symbolique, il les inclut dans son espace, afin de créer un univers plastique poussé à manifester l'inconscient dans son système esthétique.

Obeye FALL, inscrit ses recherches dans une démarche universelle, pour éviter toute forme de classification :

" Je suis un artiste africain qui fait de l'art, mais pas un artiste qui fait de l'art africain"

Ainsi, pour lui, l'art ne s'adresse pas à la culture, mais à l'humanité et à l'homme.

Obeye FALL détient à son actif, plusieurs expositions personnelles et collectives en Europe, au Moyen-Orient et sur le continent africain. En décembre 1999, il est invité à participer au workshop international du Burkina Faso, dans le cadre de la panafricaine du cinéma : Le FESPACO. Il a été sélectionné au workshop Art Bridgeen 2000 à Vienne en Autriche. En 2012, il a présenté son exposition « Reliques Temporelles 1 » à la Galerie de l’Hôtel de Ville de Castres, puis en 2014 à la Galerie « Parenthèses » de la même ville « Reliques Temporelles 2 ». Ses oeuvres ont été exposées aux Ateliers du Vau en Anjou, à l’espace Boris Vian de Montluçon ou bien encore à Avignon et sont présentes dans la collection du Musée BORIBANA à Dakar au Sénégal.

Obeye FALL a été sélectionné en 2013 pour l’Africain Festival Katara qui s’est tenu à Doha, au Qatar.

Obeye FALL was born in 1962 in the city of Saint-Louis, Senegal.

He trained at INAS (National Institute of Arts of Senegal) from 1978 to 1979, before joining the National School of Fine Arts of Senegal, from 1984 to 1987.

Subsequently, through the poet Amadou Lamine SALL, he had the honor of meeting President Léopold Sédar SENGHOR, who recommended him to the French plastic arts professor Pierre LODS installed in Senegal, previously expatriated to CONGO-BRAZZAVILLE in 1950 and precursor of poto-poto painting.

Obeye FALL thus entered the Beaux-Arts in DAKAR in 1984 and remained three years.

In his research in painting and sculpture, Obeye FALL is very interested in color theory in abstract expressionism and the crude use of materials in African statuary. He achieves, with the synthesis of these two universes opposites, to radically purify its pictorial space in a chromatic unity, in order to absorb any sign, line or trait giving rise to the location of a figurative form in his space. Instead of signs, he favors the plastic and rough quality of materials embedded in African statuary, depriving them of their meaning and without taking account of their symbolic specificity, he includes them in his space, in order to create a plastic universe pushed to manifest the unconscious in its aesthetic system.

Obeye FALL, inscribes his research in a universal approach, to avoid any form of classification:

Thus, for him, art is not addressed to culture, but to humanity and to man.

Obeye FALL has to his credit, several personal and collective exhibitions in Europe, the Middle East and the African continent. In December 1999, he was invited to participate in the international workshop in Burkina Faso, as part of the Pan-African Cinema: FESPACO. He was selected for the Art Bridge workshop in 2000 in Vienna, Austria. In 2012, he presented his exhibition “Reliques Temporelles 1” at the Galerie de l’Hôtel de Ville de Castres, then in 2014 at the “Parendhèses” gallery of the same city “Reliques Temporelles 2”. His works have been exhibited at the Ateliers du Vau in Anjou, at the Boris Vian space in Montluçon or well still in Avignon and are present in the collection of the BORIBANA Museum in Dakar in Senegal.

Obeye FALL was selected in 2013 for the African Festival Katara which was held in Doha, Qatar.

 

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Claudy Khan BIO

Issu de trois continents, (Afrique : Congo, Europe : Belgique, Amérique latine : Brésil) Claudy Khan est ce qu’on appelle un multiculturel, un métis qui vit en harmonie avec ses différents mélanges et cette différence se ressent dans sa quête qui demeure hétéroclite, dogmatique voir suprasensible.

En effet, l’artiste en véritable explorateur dépourvu de tous conditionnements et attaches, s’inspire autant du visible que de l’invisible et puise dans cette source intarissable, non seulement des ressources incommensurables d’inspirations, mais  va chercher dans les entrailles de ses visions mystérieuses, ce que les autres n’avaient pas décelés, ni même imaginés.

Dès l’Age de 9 ans, il sait déjà ce que sera son futur, prendre sa destinée en main avec la volonté de recréer un monde selon sa perception des choses, est plus qu’une certitude et se fera dans les larmes. En effet pour imposer ses choix, il devra se battre contre l’égide paternelle dans une famille bourgeoise  ou le mot « artiste « a une connotation péjorative.

Pour réaliser son rêve, il devra entrer dans la très prestigieuse Académie des Beaux-Arts  Saint Luc de Kinshasa dirigée à l’époque par le célèbre et honorable frère Lafarge. C’est ainsi que tout en recevant sa formation, il devra aussi chercher à l’intérieur de lui- même ce dont la providence l’a doté et l’exprimer sans phares ni fioritures dans les premières toiles qu’il vendra pour subsister.

Il se distingue dans un univers qu’il va conquérir encore adolescent face à des marchands d’art voraces dont la vénalité annihile les artistes au détriment de l’épanouissement de leurs talents. Mais c’est sans compter sur la ténacité du jeune artiste qui armé d’une audace sans précèdent, va commencer par organiser lui-même ses propres expositions avec succès et révéler a l’Elite du pays, une beauté artistique qui fera son chemin jusqu’à s’installer dans les grandes demeures des quartiers chics de la ville et ce jusqu’au palais présidentiel.

La peinture de Claudy Khan transcende les esprits et c’est ainsi qu’il devient une incontournable référence  dans la pléiade d’artistes de son pays. La qualité, l’originalité de son travail et le sérieux avec lequel il élabore ses toiles va lui conférer une réputation de féru de la vénusté. Ce travail émérite va payer et sa renommée va traverser les frontières, car l’artiste sera sollicité dans les lieux les plus prestigieux.

Les spécialistes de l’art vont découvrir un courant nouveau qui allie le figuratif et l’abstrait dans un surréalisme féerique. Cependant, pour faire plaisir à ses parents, il va entreprendre des études d’architecture à l’université de Nantes France en 1978 tout en poursuivant sa carrière artistique. Ce qui lui permettra de découvrir de nouvelles techniques et ainsi par la même occasion peaufiner davantage sa passion.

 Sa première exposition personnelle en 1984 a été suivie de nombreuses autres, à Paris, à travers la France et à l'étranger couronnées de succès et de plusieurs 1er prix.

Claudy Khan est aussi un artiste multisectoriel qui est autant à l’aise en peinture, en sculpture et en musique. Raison pour laquelle Il n’est facile de le caser dans un définition artistique. C’est avant tout un créateur qui cherche à aller là ou les autres se limitent, dans une créativité des plus rares et surprenante.

Coming from three continents, (Africa: Congo, Europe: Belgium, Latin America: Brazil) Claudy Khan is what is called a multicultural, a half-breed who lives in harmony with his different mixtures and this difference is felt in his quest which remains heterogeneous, dogmatic or even supersensitive.

Indeed, the artist as a true explorer devoid of all conditioning and ties, is inspired as much by the visible as by the invisible and draws from this inexhaustible source, not only immeasurable resources of inspiration, but will seek in the bowels of his mysterious visions, which the others had not detected, nor even imagined.

From the age of 9, he already knows what his future will be, taking his destiny in hand with the desire to recreate a world according to his perception of things, is more than a certainty and will be done in tears. Indeed, to impose his choices, he will have to fight against the paternal aegis in a bourgeois family where the word "artist" has a pejorative connotation.

To realize his dream, he will have to enter the very prestigious Saint Luc Academy of Fine Arts in Kinshasa, directed at the time by the famous and honorable brother Lafarge. Thus, while receiving his training, he will also have to seek within himself what providence has endowed him with and express it without lights or frills in the first canvases that he will sell in order to survive.

He stands out in a universe that he will conquer while still a teenager in the face of voracious art dealers whose venality annihilates artists to the detriment of the development of their talents. But it is without counting on the tenacity of the young artist who, armed with an unprecedented audacity, will begin by organizing his own exhibitions successfully and reveal to the Elite of the country, an artistic beauty which will make its way to to settle in the big mansions of the chic districts of the city and this to the presidential palace.

Claudy Khan's painting transcends minds and this is how he becomes an essential reference in the galaxy of artists in his country. The quality, the originality of his work and the seriousness with which he elaborates his paintings will give him a reputation as a fan of the Venus. This distinguished work will pay off and his fame will cross borders, because the artist will be sought after in the most prestigious places.

Art specialists will discover a new current that combines the figurative and the abstract in a magical surrealism. However, to please his parents, he began studying architecture at the University of Nantes France in 1978 while pursuing his artistic career. This will allow him to discover new techniques and thus at the same time further refine his passion.

His first personal exhibition in 1984 was followed by many others, in Paris, across France and abroad, crowned with success and several 1st prizes.

Claudy Khan is also a multi-sector artist who is equally at ease in painting, sculpture and music. Reason why It is not easy to fit it into an artistic definition. He is above all a creator who seeks to go where others limit themselves, in the rarest and most surprising creativity.

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David Norocos BIO

David Norocos, artiste plasticien  Ivoirien né en Côte d’Ivoire.

Dès l’âge de 8 ans il consacre son temps libre à l’apprentissage, la pratique du dessin et à la peinture.

Après de brillantes études au lycée Moderne et technique le Mahou à Abidjan, il se présente au Concours d’entrée au centre Technique des arts appliqués (CTAA) et suit une formation de 3 années en design textile.

Le 29 Août 2011, il obtient son diplôme en création textile et en 2013 il réussit le concours d’entrée à l'École Nationale des Beaux-arts (ENBA) à Abidjan. Il se fait remarquer en peinture, en étude documentaire, il est ensuite orienté en section communication.

En 2015, la télévision Ivoirienne réalise des reportages dans son atelier et est suivie par la presse locale et internationale.

En 2016, il expose en Russie, à Angers en France.

En 2017, il expose au musée des civilisations de Côte d’Ivoire, Hôtel Tiama Abidjan.

En 2018, il expose à l’aéroport d’Abidjan (SITA), en Allemagne (Hambourg) et la biennale Dak’art Sénégal.

En 2019, il expose dans des galeries d’art au Canada et au Maroc.

En 2020, il devient manager adjoint de association Jeune Artistes Avenir(J.A.A)  France, et expose au salon Arbuste à PARIS, mairie de Belfort (90) (place aux arts) France, Mairie Hérimoncourt (25310) France.

2021/2022 Norocos expose  au salon international art contemporain ART3F Mulhouse, galerie art Grosne France, Paris, Honfleur, d’Offemont 90, la galerie Maron’Ages a Lyon, prix citesLab en France et certifié pas état française en création d’entreprise (BGE)

Avec une technique unique, ses œuvres se situent entre l’abstraction et la semi-figuration il apporte cependant une touche sensible à ses sujets de prédilection.Il s’exprime à travers des symboles africains, des talismans et la numérologie des codes de façon écrite ou picturale dans ses œuvres, des triangles ou encore le soleil faisant passer des messages divins et spirituels.

Il a exposé ces oeuvres en 2023 au salon international d'art contemporain Porte de Versaille à Paris . 

Ivorian plastic artist born in Ivory Coast.

From the age of 8, he devoted his free time to learning, drawing and painting.

After brilliant studies at the Mahou Modern and Technical High School in Abidjan, he entered the entrance exam to the Technical Center for Applied Arts (CTAA) and followed a 3-year training in textile design.

On August 29, 2011, he obtained his diploma in textile design and in 2013 he passed the entrance exam to the National School of Fine Arts (ENBA) in Abidjan. He stood out in painting, in documentary study, he was then directed to the communication section.

In 2015, Ivorian television produced reports in his workshop and was followed by the local and international press.

In 2016, he exhibited in Russia, in Angers in France.

In 2017, he exhibited at the Museum of Civilizations of Côte d'Ivoire, Hotel Tiama Abidjan.

In 2018, he exhibited at Abidjan airport (SITA), in Germany (Hamburg) and the Dak'art Senegal biennial.

In 2019, he exhibited in art galleries in Canada and Morocco.

In 2020, he became deputy manager of the association Jeune Artistes Avenir (J.A.A) France, and exhibited at the Arbuste fair in PARIS, town hall of Belfort (90) (place aux arts) France, Mairie Hérimoncourt (25310) France.

2021/2022 Norocos exhibits at the international contemporary art fair ART3F Mulhouse, art gallery Grosne France, Paris, Honfleur, d'Offemont 90, the Maron'Ages gallery in Lyon, citesLab prize in France and certified by the French state in business creation ( BGE)

With a unique technique, his works are between abstraction and semi-figuration, however he brings a sensitive touch to his favorite subjects.

He expresses himself through African symbols, talismans and the numerology of codes in a written or pictorial way in his works, triangles or the sun conveying divine and spiritual mess

He exhibited these works in 2023 at the international fair of contemporary art Porte de Versaille in Paris.

Art Contemporain Africain à vendre
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William Johnson alias ''Codjo'' BIO

William Johnson alias ''Codjo'', est un artiste peintre autodidacte engagé, avec une soif de connaissances et une forte détermination.

Ayant reçu toute son éducation dans son pays natal le Bénin, il a gardé toute l'influence de sa culture et le transcrit dans ses œuvres. Après ses études scolaires, il a très tôt renforcé son envie de partage et service à autrui, en intervenant auprès d'associations d'éducation et de centres d'accueil. Il a été aussi un acteur culturel en favorisant l'expression jeune à travers la musique à Natitingou la ville où  il est né.

Il peint beaucoup à l'acrylique, mais aussi à l'huile. Il utilise également des stylos, des marqueurs, des sprays ou parfois, il n'utilise que le fusain. Après de nombreuses années à représenter du figuratif, il a adopté l'abstrait. Aujourd'hui, il fusionne les deux dans sa créativité.

Le travail artistique qu’il pratique s'inscrit principalement dans une démarche purement philosophique et spirituelle. Ses œuvres sont totalement explosives, colorées et intenses. D'une inspiration débordante et en dissonance avec les normes, il ne me met pas de limites. Son style est un mélange de tout et de rien, brute et doux, sauvage et agréable. Il crée au feeling selon l'énergie.

Parce que, ne s'inspirant d'aucun artiste en particulier, il reste généralement fidèle à son imagination. Mais il est ravi et honoré lorsqu'on compare mes œuvres à celles de certains grands artistes. Cela confirme la transmission perpétuelle par la pensée. L'œuvre est toujours plus intense que l'artiste et on dit souvent que l'art est le plus court chemin d'un Homme à un Homme.

William Johnson alias ''Codjo'', is a committed self-taught painter, with a thirst for knowledge and a strong determination.

Having received all his education in his native country Benin, he kept all the influence of his culture and transcribed it in his works. After his school studies, he very early reinforced his desire to share and serve others, by intervening with educational associations and reception centres. He was also a cultural actor by promoting youth expression through music in Natitingou, the city where he was born.

He paints a lot in acrylic, but also in oil. He also uses pens, markers, sprays or sometimes he only uses charcoal. After many years of representing the figurative, he adopted the abstract. Today, he merges the two in his creativity.

The artistic work he practices is mainly part of a purely philosophical and spiritual approach. His works are totally explosive, colorful and intense. With an overflowing inspiration and in dissonance with the norms, he does not put any limits on me. His style is a mixture of everything and nothing, raw and soft, wild and pleasant. He creates by feeling according to energy.

Because, not being inspired by any particular artist, he generally remains faithful to his imagination. But he is delighted and honored when my works are compared to those of certain great artists. This confirms the perpetual transmission by thought. The work is always more intense than the artist and it is often said that art is the shortest way from a Man to a Man.

 

 

Art Contemporain Africain à vendre
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Jean Damascène Munyeragwe BIO

Jean Damascène Munyeragwe a suivi des études artistiques au Rwanda, à l'école d'Arts de Nyundo. Depuis, il a exercé plusieurs métiers : dessinateur, photograveur d'imprimerie, ilustrateur, décorateur en peinture murale et a toujours continué la peinture, toiles et aquarelles. Il a completé sa formation à l'occasion de la visite d'artistes au Rwanda : Bruce Clarke, Charles Mutanganwa, Kossi Assou .... Il est l'auteur du livre 'LUMIERE DU RWANDA' retraçant à l'aquarelle la vie quotidienne rwandaises. La danse, la beauté de la nature et la culture rwandaise lui sont des sources permanentes d'inspiration. En 2002, il explore le monde de Picasso : ses toiles sont exposées au Rwanda (Kigali) et en France (Castres, Orléans, Saint-Malo). En 2006, il présente des aquarelles évoquant la vie quotidienne au Rwanda (Castres, Orléans, Deauville et Mâcon)

Jean Damascène Munyeragwe studied art in Rwanda, at the Nyundo School of Arts. Since then, he has worked in several professions: draftsman, photo-engraver, illustrator, decorator in mural painting and has always continued painting, canvases and watercolors. He completed his training during the visit of artists to Rwanda: Bruce Clarke, Charles Mutanganwa, Kossi Assou .... He is the author of the book 'LUMIERE DU RWANDA' retracing daily life in watercolor Rwandans. Dance, the beauty of nature and Rwandan culture are permanent sources of inspiration for her. In 2002, he explored the world of Picasso: his paintings were exhibited in Rwanda (Kigali) and France (Castres, Orléans, Saint-Malo). In 2006, he presented watercolors evoking daily life in Rwanda (Castres, Orléans, Deauville and Mâcon)

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Patrick Musombwa BIO

Patrick Musombwa, né à Kinshasa en 1988, diplômé de l’académie des beaux-arts de Kinshasa en 2009 avec d’autres résidences et ateliers artistiques en RD Congo et en France, réside et

travaille en France.

Sa peinture généralement en acrylique, collage de tissu, fil et huile sur toile ainsi que le fusain.

Se veut une esthétique surréaliste et futuriste. Elle exploite les thèmes de la vie de l’homme et de la société dans leur évolution. D’où le leitmotiv de la marche représentée par le pied du sujet, le visage, le feuillage et l’environnant bâti.

Musombwa a commencé à être reconnu dans les expositions très tôt pendant ses études d’art à Kinshasa et a rapidement trouvé son chemin vers le marché international. Il a exposé

principalement dans des territoires Français parlant comme la RD Congo, la Belgique et la France, mais a récemment exposé aux Pays-Bas.

Patrick Musombwa, born in Kinshasa in 1988, graduated from the Kinshasa Academy of Fine Arts in 2009 with other residences and artistic workshops in DR Congo and France, resides and works in France.

His painting usually in acrylic, fabric collage, thread and oil on canvas as well as charcoal.

Wants a surreal and futuristic aesthetic. It exploits the themes of the life of man and society in their evolution. Hence the leitmotif of the walk represented by the foot of the subject, the face, the foliage and the built environment.

Musombwa began to be recognized in exhibitions very early on during his art studies in Kinshasa and quickly found his way to the international market. He exhibited mainly in French speaking territories such as DR Congo, Belgium and France, but has recently exhibited in the Netherlands.

 

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Marcelin Yao BIO

Ancien étudiant de l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle d’Abidjan, Marcelin K. YAO est un artiste franco-ivoirien né le 28 Février 1984 en Côte d’Ivoire. Son parcours aux Beaux-Arts d’Abidjan sera consacré à une spécialité en Peinture. Ce à quoi il joindra une maîtrise des logiciels d’infographie. D’ailleurs, dans sa course vers la fusion entre les Arts Plastiques qu’il étudie, et les Nouvelles Techniques de l’information et de la Communication, il sera très vite recruté par l’entreprise française de communication et d’infographie ARAMIS.

Major de la promotion 2011 des Beaux-Arts d’Abidjan, son talent le conduit très tôt à être sélectionné pour le compte de la 7e édition de l’exposition BICICI Amie des ARTS, qui se tient du 27 septembre au 28 octobre 2011 à Abidjan. Depuis lors d’autres expositions ont suivi : « BICICI amie des arts 2012 »(Abidjan, Côte d’Ivoire), Art et Nature katadji 2012 /2013 (KATADJI,Côte d’Ivoire)….

Lauréat du premier concours des Arts de la fondation Benianh International en septembre 2014, Marcelin YAO obtient une bourse pour continuer ses études à l'école des Beaux-arts de Tourcoing en France. En 2016, l’artiste obtient son master en art design et communication et approfondi son travail pictural à travers plusieurs collections dont “figures poétique” et le cycle des anonymes. Aujourd’hui Marcelin YAO enseigne les arts appliqués au Lycée professionnel du bâtiment JEAN GARNIER de MORCENX en FRANCE.

"Mes peintures tirent leurs profondeurs dans mes souches africaines. Ce sont des écrans figés qui marquent le temps de la rencontre entre les hommes, leurs faits et les objets qui leurs appartiennent. Les sujets que j’aborde se veulent forts et percutants. J'aborde par exemple le rêve de liberté de la femme émancipée, la métamorphose de nos sociétés culturelles à travers la confrontation d’objets issues d’époques différentes ou encore les traces ineffaçables de mon enfance."

Marcelin YAO

Former student of the National Institute of Arts and Cultural Action of Abidjan, Marcelin K. Yao is a Franco-Ivorian artist born on February 28, 1984 in Côte d'Ivoire. His course in Fine Arts in Abidjan will be devoted to a specialty in Painting. What he will join a mastery of computer graphics software. Moreover, in his race towards the fusion between the Plastic Arts that he studies, and the New Information and Communication Technologies, he will be recruited very quickly by the French company of communication and computer graphics ARAMIS.

Major of the 2011 promotion of the Fine Arts of Abidjan, his talent leads him very early to be selected for the 7th edition of the exhibition BICICI Amie des ARTS, held from September 27 to October 28, 2011 in Abidjan. Since then other exhibitions have followed: "BICICI amie des arts 2012" (Abidjan, Ivory Coast), Art et Nature katadji 2012 /2013 (KATADJI,Ivory Coast)....

Winner of the first competition of the Arts of the Benianh International Foundation in September 2014, Marcelin YAO obtains a scholarship to continue his studies at the School of Fine Arts of Tourcoing in France. In 2016, the artist obtained his master's degree in art design and communication and deepened his pictorial work through several collections including "poetic figures" and the cycle of anonymous. Today Marcelin Yao teaches applied arts at the Lycée professionnel du bâtiment JEAN GARNIER in MORCENX, FRANCE.

"My paintings draw their depths from my African roots. They are frozen screens which mark the time of the meeting between men, their facts and the objects which belong to them. The subjects that I approach are strong and striking. I approach for example the dream of freedom of the emancipated woman, the metamorphosis of our cultural societies through the confrontation of objects resulting from different times or the ineffaceable traces of my childhood.

Marcelin YAO

Art Contemporain Africain à vendre
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Bedyyoul BIO

Je suis une artiste peintre franco-ivoirienne, née en Côte d’ivoire, plus précisément dans la commune de Cocody. Mon nom d’artiste est bedyyoul.  À l’état civil: BEUDE YOLANDE.  Je fais de l’art figuratif, de l’art abstrait et aussi de la décoration d’intérieur.

L’art représente pour moi une autre partie de mon être. En un mot, la peinture me fait réfléchir à tout ce qui m’entoure. Elle me permet de m’exprimer de façon visuelle et de ressortir l’autre personnage enfoui en moi. L’art et moi sommes indissociables. Il n’y a pas de plus belle manière de m’exprimer qu’à travers l’art. J’aime parler à la toile et surtout quand elle m’envoie des messages, j’arrive très rapidement à cerner ce qu’elle me demande. Nous sommes très complices. J’ai débuté mes années collège, au collège SEPI de Yopougon dans les années 8O, ensuite au lycée moderne de DIVO (une ville de la Côte d’ ivoire) où j’ai obtenu mon BEPC. J’y ai ensuite obtenu mon baccalauréat littéraire en 1993 .Cherchant des voies et moyens pour rentrer dans une École Supérieure de Peinture, je passais la plupart de mon temps à dessiner des portraits d’amis (es),et de certains artistes chanteurs ivoiriens et d’ailleurs . Je dessinais aussi des portraits de grandes personnalités, tels que feu le président Félix Houphouët Boigny , Nelson Mandela etc. En fait des personnages qui impactaient .

Cette passion pour le dessin, je l’avais déjà depuis ma tendre enfance c’est à dire depuis l’école primaire. Mon envol dans ce domaine allait se manifester quand j ‘ai participé à un concours organisé par l’INSSAAC (Institut National Des Arts et Des Actions Culturelles.) à Cocody, concours au cours duquel l’une de mes ouvres, le portrait de la charmante artiste chanteuse Nayanka Bell fût primée. Ce qui m’a valu d’entrer à l’INSSAAC, pour faire des études en Arts Plastiques, option peinture (1994-1997). Après avoir obtenu mon diplôme en 1998, j’ai travaillé dans l’atelier de l’artiste peintre Gérard Ebélé Marcel "d’origine camerounaise, installé depuis longtemps en Côte d’ivoire. Quelques années plus tard, j’ai eu un contrat d’un mois, pour participer à une exposition d´oeuvres d’arts à Lyon en France. Ceci Grâce au ministère de la culture ivoirienne de l’époque, le ministre Bernard Zadi zahourou qui malheureusement n’est plus parmis nous.Je suis arrivée en France le 19 décembre 1999. Malheureusement, le 24 décembre 1999, survint un coup d’état militaire. Je ne pouvais donc envisager d’y retourner, et j’ai donc décidé de rester en France à la fin de mon exposition, dans l’espoir de poursuivre ma jeune carrière. J’ai pu organiser plusieurs expositions et vernissages grâce aux concours de certains artistes et amis. Quelques années plus tard, j’ai pu m’inscrire à la maison des artistes peintres en france, ce qui me permet aujourd’hui d’exposer et d'organiser des vernissages en France et en dehors de la France. Après ma récente exposition à Dubaï organisée par ZeeArts, le 8 mars dernier (Art Connect Women) , je serais bientôt à Agadir .

I am a French-Ivorian painter, born in Côte d'Ivoire, more precisely in the town of Cocody. My artist name is bedyyoul.  In civil status: BEUDE YOLANDE.  I make figurative art, abstract art and also interior decoration. Art represents for me another part of my being. In a word, painting makes me think about everything that surrounds me. It allows me to express myself in a visual way and to bring out the other character buried in me. Art and I are inseparable. There is no more beautiful way to express myself than through art. I like to talk to the canvas and especially when it sends me messages, I can very quickly identify what it asks me. We are very close. I started my college years, at the SEPI college in Yopougon in the 80s, then at the modern high school in DIVO (a city in Côte d'Ivoire) where I obtained my BEPC. I then obtained my literary baccalaureate in 1993. Looking for ways and means to enter a Higher School of Painting, I spent most of my time drawing portraits of friends (es), and some Ivorian artists singers and elsewhere. I also drew portraits of great personalities, such as the late President Felix Houphouet Boigny, Nelson Mandela etc.. This passion for drawing, I already had it since my childhood, that is to say since elementary school. My flight in this field was going to manifest itself when I participated in a contest organized by the INSSAAC (National Institute of Arts and Cultural Actions) in Cocody, contest during which one of my works, the portrait of the charming singer Nayanka Bell was awarded. This led me to enter INSSAAC, to study Fine Arts, painting option (1994-1997). After graduating in 1998, I worked in the studio of the painter Gerard Ebélé Marcel "of Cameroonian origin, long installed in Côte d'Ivoire. A few years later, I had a one-month contract to participate in an art exhibition in Lyon, France. This was thanks to the Ivorian Ministry of Culture at the time, Minister Bernard Zadi Zahourou, who unfortunately is no longer with us. I arrived in France on December 19, 1999. Unfortunately, on December 24, 1999, a military coup occurred. I could not consider going back, so I decided to stay in France at the end of my exhibition, in the hope of continuing my young career. I was able to organize several exhibitions and openings thanks to the help of some artists and friends. A few years later, I was able to register at the house of painters in France, which allows me today to exhibit and organize openings in France and outside France. After my recent exhibition in Dubai organized by ZeeArts, on March 8 (Art Connect Women), I will soon be in Agadir.

 

 

Art Contemporain Africain à vendre
Art Contemporain Africain à vendre

G.NEA BIO

Émile Auguste Gbédé N’guessan dit ‘’G.Nea’’

Depuis son enfance jusqu’à ce jour, l’artiste s’est engagé à travers son art à dénoncer les violences de tous genres, conscientiser la jeunesse africaine et aborder d’autres questions liées à l’actualité de son pays ou du continent. De 2003 à 2019, il a, à son actif, 44 expositions nationales et internationales et 15 collections privées. De son vrai nom Émile Auguste Gbédé N’guessan, G.Nea, est né à Bingerville en Côte d’Ivoire. Dès la classe de Ce1, tout a commencé pour lui. Grâce à son écriture, il remplissait le cahier de textes de son maître, faisait les schémas de même que les frises. Dans cette même classe, G.Nea fréquentait l’univers des artistes sculpteurs et apprenait à sculpter. Ainsi, il participait à la réalisation de quelques monuments du pays. En classe de 6ème, son chemin s’est croisé avec celui de son professeur de dessin qui est, lui aussi, un artiste peintre. Les encouragements de son professeur le rassurent peu à peu dans son choix et dans sa carrière. Quelques années plus tard, il est admis au concours du Centre Technique Arts Appliqués de Bingerville. Dans ce centre, l’artiste a eu l’occasion de perfectionner son art et apprendre les techniques de base. Sa formation a été sanctionnée d’un Brevet de Technicien Artistique. Depuis 2006, G.Nea est devenu un artiste libre et travaille selon ses propres inspirations. Pour réaliser ses œuvres, il s’inspire des conflits dans le monde, en général, et ceux de la Côte d’Ivoire, en particulier. De même, ses œuvres sont réalisées sur plusieurs supports différents qu’il a eu l’occasion d’étudier lors de sa formation.

Démarche artistique

 A partir de la technique de la tapisserie et à l’aide des cadres, l’artiste a créé son propre support de travail. Ainsi, ses tableaux répondent aux normes des tableaux réalisés à notre ère, la période contemporaine. L’artiste utilise beaucoup plus la couleur rouge pour parler du danger et le bleu qui fait appel à la sensualité, la tendresse. Depuis le début, le travail de G.Nea s’intéresse aux thèmes tels que les guerres, l’éducation, et d’autres réalités quotidiennes. Ce qui fait la particularité de son travail est son attachement à l’art ancien. Cette approche permet à G.Nea d’aller au-delà de l’expression des formes plastiques et de l’esthétisme. L’ensemble de ces éléments constitue, pour lui, une approche métaphysique. Ceci est une réappropriation du passé, une pratique qui existe par le passé. Il s’agit de l’art ancien Egyptien, en particulier, celui de l’Afrique. Selon le peintre, c’est une manière de pouvoir mieux comprendre le présent afin de se projeter dans le futur. Pour y arriver, l’artiste s’étale sur un plan purement esthétique de “la peinture sculptée lisse”. « Mon travail se plonge au-delà d’une simple approche mystique en ouvrant une réflexion, une brèche sur les rapports du monde (guerre, famine, violence etc.), la création esthétique et aussi les fondements culturels », précise G.Nea. Il décrit son travail comme un point d’interrogation « ? ». L’artiste cherche, à travers ses réalisations, à trouver une solution à la question que pose l’œuvre de Gauguin « Qui sommes-nous, d’où venons-nous, où allons-nous ». Aujourd’hui, il est l’un des promoteurs de Praia Pinceau de Rue des Arts Internationaux d’Abidjan.

Art engagé…

Ayant compris que l’art contemporain s’inscrit dans le développement durable, l’artiste s’est adapté à la réalité de nos jours. Mais il ne s’est pas détaché des réalités anciennes. Ce qui fait qu’aujourd’hui, il reste dans l’actualité comme tout autre artiste qui se veut une évolution. Ainsi, G.Nea s’est donné à l’art de la récupération afin d’assainir l’environnement. Il redonne vie, à travers cette technique, aux objets périssables pour en faire des œuvres de l’esprit. Grâce à son engagement dans l’art, l’artiste a, à son actif, 44 expositions et ce, en Afrique et dans le monde. Sa participation à

ces expositions a été faite de 2010 à 2019. De la Côte d’Ivoire en passant par le Bénin, le Congo Brazzaville, le Burkina-Faso, la France et dans des Instituts, G.Nea s’est fait remarquer par la qualité de son travail et son engagement. De plus, il a 15 collections privées. Il est important d’avoir ses œuvres et en juger la qualité sur un mur.

Emile Auguste Gbédé N'guessan known as "G.Nea

Since his childhood until today, the artist is committed through his art to denounce violence of all kinds, raise awareness of African youth and address other issues related to the current affairs of his country or the continent. From 2003 to 2019, he has, to his credit, 44 national and international exhibitions and 15 private collections. His real name is Emile Auguste Gbédé N'guessan, G.Nea, was born in Bingerville in Côte d'Ivoire. From the class of Ce1, everything started for him. Thanks to his handwriting, he filled in the textbook of his teacher, made the diagrams as well as the friezes. In this same class, G.Nea frequented the world of sculptors and learned to sculpt. Thus, he participated in the realization of some monuments of the country. In 6th grade, his path crossed with that of his drawing teacher who was also a painter. The encouragement of his teacher gradually reassured him in his choice and in his career. A few years later, he was admitted to the competition of the Technical Center of Applied Arts of Bingerville. In this center, the artist had the opportunity to perfect his art and learn the basic techniques. His training was sanctioned by a Brevet de Technicien Artistique. Since 2006, G.Nea has become a free artist and works according to his own inspirations. To realize his works, he is inspired by the conflicts in the world, in general, and those of the Ivory Coast, in particular. Also, his works are realized on several different supports that he had the opportunity to study during his training.

Artistic approach

 From the technique of tapestry and with the help of frames, the artist has created his own work support. Thus, his paintings meet the standards of paintings made in our era, the contemporary period. The artist uses much more the color red to speak of danger and blue which appeals to sensuality, tenderness. Since the beginning, G.Nea's work has been interested in themes such as wars, education, and other everyday realities. What makes his work special is his attachment to ancient art. This approach allows G.Nea to go beyond the expression of plastic forms and aesthetics. All these elements constitute, for him, a metaphysical approach. This is a reappropriation of the past, a practice that exists in the past. It is the ancient Egyptian art, in particular, that of Africa. According to the painter, it is a way to better understand the present in order to project himself into the future. To achieve this, the artist spreads out on a purely aesthetic level of "smooth sculpted painting". "My work goes beyond a simple mystical approach by opening a reflection, a breach on the relationships of the world (war, famine, violence etc..), the aesthetic creation and also the cultural foundations, "says G.Nea. He describes his work as a question mark "? The artist seeks, through his achievements, to find a solution to the question posed by the work of Gauguin "Who are we, where do we come from, where are we going". Today, he is one of the promoters of Praia Pinceau de Rue des Arts Internationaux in Abidjan.

Committed art...

Having understood that contemporary art is part of sustainable development, the artist has adapted to the reality of our days. But he did not detach himself from the old realities. What makes that today, it remains in the actuality as any other artist who wants to be an evolution. Thus, G.Nea gave himself to the art of recovery in order to clean up the environment. He gives life, through this technique, to perishable objects to make works of the spirit. Thanks to his commitment to art, the artist has 44 exhibitions to his credit, in Africa and around the world. His participation in

these exhibitions was made from 2010 to 2019. From the Ivory Coast through Benin, Congo Brazzaville, Burkina-Faso, France and in Institutes, G.Nea has been noticed by the quality of his work and his commitment. In addition, he has 15 private collections. It is important to have his works and judge their quality on a wall.

 

 

 

Art Contemporain Africain à vendre
Art Contemporain Africain à vendre

Didier Richard Hagbe BIO

Didier Hagbé est né le 19 Avril 1960 à Douala, au Cameroun au bord d’un fleuve, le Wouri qui est un affluent de l’océan atlantique. Passionné de littérature et de peinture, il passe ses loisirs entre un livre et un pinceau.Hagbé se définit comme un enfant de la forêt équatoriale, un artiste bantou, camerounais, au mieux un artiste africain, mais avant tout il est un artiste du monde contemporain.

Je cite hagbé: “Je refuse de me voir enfermé dans le rôle de l’artiste “africaniste” ma peinture se veut ouverte sur le monde et elle devrait être capable de toucher, les africains, les américains, les européens, les amazoniens, ceux de l’océanie … pour moi c’est le fait d'être artiste peintre qui prédomine, et non les origines de l’artiste, bien évidemment, je suis un enfant de la forêt point et ma civilisation et culture est suffisamment forte pour que je l’impose comme telle. Alioune SENE, ministre de la culture sous SENGHOR, disait: ”l’art qui est un langage commun, une interrogation de l’univers cosmique et des forces obscures du destin, peut nous aider à donner une réponse plus humaine au drame de notre existence”. Dans son approche en peinture, Hagbé essaye de faire ressentir des émotions, mais l’idée principale pour lui, est surtout d’ébranler les sens, de faire sortir l’observateur de son confort d’habitudes et d'interprétations visuelles. L’idée est de faire apparaître l’énergie essentielle et instinctive de la vie, c’est l’une des raisons qui le poussent à ne jamais pendant les vernissages vers les observateurs de ses tableaux, je le cite: “ je leurs laisse la liberté d’entrer dans ce jardin qui est ma plantation, puisque je me définis comme un peintre jardinier, et je respecte leur liberté comme moi j’ai été libre de jardiner sans subir l’influence d’un futur observateur ou acquéreur” Hagbé se définit définitivement comme un peintre africain, un peintre nègre dans le sens de senghor et de Césaire, de Francis Beybé, un peu comme un enfant, un héritié d’une tradition à transmettre, à travers son expression artistique.

 “ Dans l’Art Africain ce que j’ose modestement revendiquer, l’esprit existe dans la statue, dans la peinture, ou dans l’objet et y demeure. Mon travail s’inscrit dans une forme de spiritualité et je suis en connexion avec les esprits de la forêt.” Dans cet art, le but de l’objet n’est pas de reproduire servilement les apparences, mais de parler de l’expérience créatrice des formes invisibles. “L’art africain est essentiellement lié à la vie de la personne, l’esthétique c’est sa destination religieuse et sociale” “Je donne souvent comme exemple, l'utilisation des masques lors des grandes cérémonies en Afrique noire qui a pour but de permettre à leurs porteurs, de cacher leur identité au transcendant et de leur permettre de rentrer en contact sans danger avec celui-ci. Le fait d'être discret pendant les expositions, relève du même ordre moi je suis insignifiant par rapport au message que peut véhiculer ou pas mon oeuvre, et si je pouvais même ne pas être reconnu comme l’auteur, cela m'arrangerait. Le fait d'être un autodidacte, et un artiste d’art contemporain et même un artiste d’art singulier me laisse une énorme liberté, et m’offre des possibilités diverses.Parfois, les formes plastiques que j'utilise peuvent détenir en elles-mêmes une nature de revendication politique, sociétale, sociale, environnementale, au-delà du premier aspect esthétique. Est-ce que je peux revendiquer le statut d’artiste peintre contemporain? incontestablement, car pour être considéré comme artistique un objet doit être le produit d’un travail humain sur un matériau visuel donc c’est ce que je fais, je suis donc dans le thème, et je suis contemporain parce que je vis dans la même époque que vous. Les masques africains sont ma première base d’inspiration et une grande partie de mon travail tourne autour des masques et des objets africain, de la civilisation africaine qui est une très grande civilisation, à qui n’ayons pas peur des mots, est la première civilisation puisque scientifiquement on admet tous que l’afrique est l’origine et le berceau de l'humanité. Je penses à Lucie. Les masques africains sont au départ une expression, un langage plein de code, et c’est une de mes matières premières. Je me réjouis du fait que le regard occidental commence à s’intéresser et à intégrer les autres cultures non-occidentales, dans leur valeurs de pensée. Je peins depuis une trentaine d'années. Je me définis comme un "peintre jardinier", l'observateur peut avoir plusieurs visions, par exemple ne voir que l’esthétique du jardin, ou alors aller au-delà et regarder par la fenêtre et tenter de décoder le vocabulaire utilisé. Elles sont si multiples les racines qui nourrissent ma peinture: racines enfouies dans le sol d'Afrique en particulier au Cameroun où j'ai grandi.

Le vocabulaire que j’utilise, dans mes constructions géométriques s'inspirent du style africain, et cet art faisant partie de ma culture, et de ma civilisation, je sais reconnaître leurs pouvoirs expressifs et leur transcendance, l’art africain au départ était un art savant, fonctionnel et spirituel. Lorsque je crée un tableau, j’utilise de nombreuses opérations plastiques sur une seule forme, pour multiplier les angles et les points de vue. Je ne suis pas un peintre réaliste, je détruis toujours le sujet ou l’objet, pour ensuite le reconstruire de la manière dont je l’imagine ou le fantasme. Il s’agit ici d’un héritage culturel, la création artistique en afrique est une création de magies visuelles au départ, il n’y a que récemment que certains artistes africains contemporains y font entrer la notion de l’esthétique. On peut quelquefois voir dans mon travail la combinaison de traits animaux et humains, je pratique de manière privilégiée ses fusions selon les mythologies, soit traditionnelles, soit issues du fruit de mon imagination.

Didier Hagbé was born on April 19, 1960 in Douala, Cameroon on the banks of the Wouri River, a tributary of the Atlantic Ocean. Passionate about literature and painting, he spends his free time between a book and a brush. Hagbé defines himself as a child of the equatorial forest, a Bantu artist, Cameroonian, at best an African artist, but above all he is an artist of the contemporary world.

I quote Hagbé: "I refuse to see myself locked in the role of the artist "Africanist" my painting wants to be open to the world and it should be able to touch, Africans, Americans, Europeans, Amazonians, those of Oceania ... for me it is the fact of being a painter that predominates, and not the origins of the artist, of course, I am a child of the forest point and my civilization and culture is strong enough for me to impose it as such. Alioune SENE, Minister of Culture under SENGHOR, said: "Art which is a common language, an interrogation of the cosmic universe and the dark forces of destiny, can help us to give a more human answer to the drama of our existence". In his approach to painting, Hagbé tries to make people feel emotions, but the main idea for him is to shake the senses, to make the observer leave his comfort of habits and visual interpretations. The idea is to bring out the essential and instinctive energy of life, this is one of the reasons why he never during the openings to the observers of his paintings, I quote: "Hagbé defines himself definitively as an African painter, a negro painter in the sense of Senghor and Cesaire, of Francis Beybé, a bit like a child, an heir of a tradition to be transmitted through his artistic expression.

"In African Art what I modestly dare to claim, the spirit exists in the statue, in the painting, or in the object and remains there. My work is part of a form of spirituality and I am in connection with the spirits of the forest." In this art, the purpose of the object is not to slavishly reproduce appearances, but to speak to the creative experience of invisible forms. "African art is essentially linked to the life of the person, the aesthetic is its religious and social destination" "I often give as an example, the use of masks during the great ceremonies in Black Africa which has for goal to allow their carriers, to hide their identity to the transcendent and to allow them to enter in contact without danger with this one. The fact of being discreet during the exhibitions is of the same order : I am insignificant compared to the message that my work may or may not convey, and if I could not even be recognized as the author, that would suit me. The fact that I am a self-taught contemporary artist and even an artist of singular art leaves me an enormous freedom, and offers me diverse possibilities. Sometimes, the plastic forms that I use can hold in themselves a nature of political, societal, social, environmental claim, beyond the first aesthetic aspect. Can I claim the status of contemporary painter? undoubtedly, because to be considered artistic an object must be the product of a human work on a visual material, so that's what I do, I'm in the theme, and I'm contemporary because I live in the same time as you. African masks are my first base of inspiration and a large part of my work revolves around African masks and objects, the African civilization which is a very great civilization, which let's not be afraid of words, is the first civilization since scientifically we all admit that Africa is the origin and the cradle of humanity. I think of Lucia. The African masks are initially an expression, a language full of code, and it is one of my raw materials. I am delighted that the Western eye is beginning to take an interest and to integrate other non-western cultures, in their values of thought. I have been painting for about thirty years. I define myself as a "garden painter", the observer can have several visions, for example only see the aesthetics of the garden, or go beyond and look through the window and try to decode the vocabulary used. There are so many roots that feed my painting: roots buried in the soil of Africa, particularly in Cameroon where I grew up.

The vocabulary I use in my geometric constructions are inspired by the African style, and this art being part of my culture, and my civilization, I know how to recognize their expressive powers and their transcendence, the African art at the beginning was a learned, functional and spiritual art. When I create a painting, I use many plastic operations on a single form, to multiply the angles and points of view. I am not a realist painter, I always destroy the subject or object, and then reconstruct it in the way I imagine or fantasize it. This is a cultural heritage, the artistic creation in Africa is a creation of visual magic at the beginning, it is only recently that some contemporary African artists bring in the notion of aesthetics. One can sometimes see in my work the combination of animal and human features, I practice in a privileged way its fusions according to the mythologies, either traditional, or resulting from the fruit of my imagination.

 

 

 

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